Même pas Gorafi.

Le président américain a qualifié l’élu de la chambre des représentants Justin Amash de « poids plume » et de « loser » après que ce dernier l’a accusé d’obstruction à la justice.

Donald Trump a condamné sans ambiguïté les attaques terroristes de Christchurch, en Nouvelle Zélande, vendredi 15 mars, mais il a également relativisé le danger de l’idéologie qui les a motivés. Lorsque la presse lui a demandé s’il considérait que le « nationalisme blanc » constitue une menace croissante, le président des Etats-Unis a répondu : « Pas vraiment. » « Je pense qu’il s’agit d’un petit groupe de personnes qui ont de gros gros problèmes », a-t-il ajouté. « Je suppose que si vous regardez ce qui s’est passé en Nouvelle-Zélande, c’est peut-être le cas, a-t-il poursuivi, je n’en sais pas encore assez à ce sujet. Les enquêteurs n’en sont qu’au début pour la personne et les personnes impliquées. »